Rencontre avec Balthazar, Business Development Representative chez OVRSEA et Talent de la communauté Élinoï.
Élinoï
Bonjour Balthazar ! Peux-tu nous en dire plus sur toi et ton parcours ?
Balthazar
Je m'appelle Balthazar Toupart et je suis chez OVRSEA depuis un an et trois mois. Avant ça, j'ai obtenu une licence d'économie à l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne et j'ai également un certificat d'apprentissage du mandarin que j'ai eu à l'université Jiao Tong de Shanghai en 2019. Suite à mon parcours universitaire, je me suis mis très vite en recherche d'un boulot et j’ai été rapidement embauché dans une entreprise qui organisait des tournois sportifs internationaux en France. Ma mission était de prospecter le marché asiatique pour faire participer des équipes de football aux tournois qu'on organisait. En 2020, le Covid est arrivé et c’est devenu très compliqué de faire voyager des personnes depuis l'Asie. Je me suis donc rabattu sur le marché Français. J’ai fait ça pendant un an et ça s’est très bien passé. Après cette première expérience professionnelle formatrice, j'avais besoin d'un nouveau challenge alors je me suis mis en quête d’une nouvelle aventure.
Élinoï
Comment as-tu découvert Élinoï ?
Balthazar
À l’époque, je ne connaissais pas Élinoï et je n’étais pas du tout familier avec l'univers startup. Tout a commencé en septembre 2021, alors que je me baladais sur LinkedIn dans l'idée de trouver des opportunités. Je suis tombé sur Élinoï, notamment sur l’un de vos posts avec écrit : « Postulez, on accepte 15 % des candidats ». J’ai postulé par curiosité et à partir de là tout est allé très vite. J’ai intégré la communauté Élinoï et on m’a mis en relation avec cinq à six startups. Il y en a une en particulier qui m’a tout de suite tapé dans l'œil, c’est OVRSEA. Pourquoi ? Parce qu'elle était très axée “international” et qu’elle dégageait une ambiance qui me plaisait. J’ai d’ailleurs eu de la chance de ne pas commencer les process directement avec OVRSEA. En effet, je ne connaissais pas vraiment l'écosystème startup et je n’avais pas eu l’occasion de faire beaucoup d’entretien dans ma vie. Grâce aux autres processus de recrutement, j’ai pu me mettre dans le bain et me rendre compte de l’exigence demandée dans un process de recrutement. Je me suis concentré sur l’opportunité que me proposait OVRSEA et j’ai eu raison puisque finalement j’ai intégré l’équipe en novembre 2021 !
Élinoï
Savais-tu ce que tu voulais faire à ce moment-là ?
Balthazar
Pour être honnête, non. Je savais que j'étais un bon Sales et que le job de Business Development (BD) était quelque chose que j'étais capable de faire. J’avais déjà fait de la prospection et j’étais prêt à y retourner si le sujet m’intéressait vraiment. Et puis mon profil était assez atypique : je n’avais qu’une licence en économie et je ne sortais pas d’école de commerce comme les autres Sales. J’ai vite compris qu’Élinoï allait m’aider à passer des “barrières” car même si mon profil n’était pas forcément celui que l’on retient sur le CV, ils croyaient en mes capacités de bon commercial. Lorsque j’ai dit à Laurent, mon Account Manager chez Élinoï, que je voulais rejoindre OVRSEA en tant que BDR, il m’a tout de suite répondu : “Ok, ça ne va pas être simple, mais on va tout tenter !”.
Élinoï
Le processus de recrutement d’OVRSEA est réputé pour être exigeant. Comment as-tu fait pour réussir les process haut la main ?
Balthazar
Tout a commencé avec Mélinda, une des Talent Acquisition Managers. Elle m’a appelé pour le premier entretien de screening. Elle a apprécié notre échange et elle a été la première à croire en mon profil !
J’ai ensuite passé la deuxième étape avec mon potentiel futur manager. C’était ce qu’on appelle un fake call ou une simulation d’appel. C’est vraiment l’étape que j’ai préférée. C’était challengeant puisqu’il m’a posé pas mal de questions sur l’industrie du transport. Il a testé ma compréhension du business, ce business assez particulier, technique et complexe mais c’était la meilleure façon de jauger ma motivation. Je suis assez fier, parce que j’ai réalisé l’une des meilleures simulations qu’un candidat ait faites. Puis, j’ai rencontré David, le directeur commercial. Lui, c’est un sales hors pair, un grand orateur. Autant dire que ce n’est pas facile de le convaincre mais c’est un interlocuteur passionnant ! Et pour finir, il y a la dernière étape : le speed recruiting. C’est un échange avec six personnes de l'entreprise, trois rendez-vous avec deux personnes en même temps. L’objectif est de rencontrer les équipes et au moins l’un des fondateurs. C’est l’étape selon moi la plus impressionnante mais aussi la meilleure manière de savoir si l’on a envie de travailler ensemble au quotidien. Et puis pour le coup, Laurent m’a bien coaché et tout s’est très bien passé.
L’accompagnement Élinoï m’a été très précieux pendant ces entretiens : le choix de ma tenue, la question du vouvoiement et même pour bien comprendre ce qui m’attendait pendant les différentes rencontres, les feedbacks entre les étapes d’entretien, etc. J’ai finalement réussi à aller au bout du process et à rejoindre leurs équipes. Je suis assez fier de ça.
Élinoï
Peux-tu nous en dire un peu plus sur ton quotidien de BDR chez OVRSEA ?
Balthazar
C’est un métier où il faut faire preuve de beaucoup d’énergie, de résilience et de créativité au quotidien. J'insiste dessus parce que c’est très important. C’est d’ailleurs la partie que je préfère dans mon travail. Il faut aussi avoir une compréhension du business poussée. Le jour où j'ai fait preuve de curiosité et que j’ai montré un vrai attrait pour le secteur du transport international, j’ai réussi à atteindre mes objectifs. Je pense sincèrement que ce job n’est pas fait pour tout le monde.
Derrière ce job de prospection et donc principalement de cold call, je mets 3 étapes clés. La première consiste à comprendre ce que fait le prospect et à obtenir toutes les informations nécessaires. Ensuite, il faut analyser si notre proposition de valeur correspond à son business et pourrait répondre à un de ses besoins. Et pour finir, le convaincre qu’il faut qu’on se rencontre car on peut véritablement accélérer son business. Et puis quoi de plus gratifiant que de réussir à convaincre des prospects ! Réussir à obtenir un échange alors que le prospect est réticent, entretenir des échanges pendant 6 mois ou même 1 an pour certains et que, quelques mois plus tard, ce prospect devienne le plus grand client d’OVRSEA. C’est ça que j’aime dans ce métier : nos efforts finissent par payer. En revanche, si vous n’êtes pas prêt à y laisser votre chemise, alors ce n’est peut-être pas le job qu’il vous faut. À vous de faire preuve de créativité et de débrouillardise pour capter l’attention de votre interlocuteur ! Pour ma part, je travaille une phrase d’accroche différente pour chaque industrie. Par exemple, si j'appelle une entreprise dans le retail, j’explique que c’est bientôt l’anniversaire de ma conjointe et que je veux lui acheter un trench-coat ; que j’ai besoin d’aide et que je suis preneur de ses conseils. Et par ailleurs, j’aimerais beaucoup en savoir plus sur le transport de leurs vêtements. Cela m’arrive aussi d’aller directement sur le terrain, en magasin, pour enquêter sur l’origine de leur marchandise. Et dès le lundi matin, je reviens avec toutes les informations pour les appeler et les épater avec tout ce que je sais !
Élinoï
On a entendu tes collègues te surnommer Balthastar ! Alors Balthastar, Quels sont tes projets pour la suite au sein d’OVRSEA ?
Balthazar
C’est le petit surnom qu’ils me donnent ! Il faut dire que j’ai eu des échanges et des démonstrations que je suis allé chercher avec les dents. Certains commerciaux de nos concurrents m’en veulent encore. Quand je vous disais qu’il faut être prêt à tout donner, c’est vraiment ce que je fais. Et puis évidemment, comme on travaille dans un open space, tout s’entend… Enfin bref, la suite pour moi, c’est New-York ! Je pars dans 3 semaines. Pour vous donner un peu de contexte, dès les premiers mois chez OVRSEA, j’ai vite atteint mes objectifs. Au bout de cinq mois, j’ai demandé à saisir une opportunité : partir travailler dans l’une des antennes aux États-Unis. Le culot, il faut en avoir autant au téléphone que dans la vie.
On m’a répondu que si je continuais à travailler comme je le faisais et à atteindre mes objectifs, alors je pourrais partir. J’ai tout donné. Et après un an, je suis très heureux de partir vivre à New-York. Là-bas, je ferai le même métier, mais sur un marché qui est totalement différent, avec des interlocuteurs différents et des spécificités de transports différentes. Je dois tout réapprendre, mais ce que j’ai déjà acquis me servira, c'est sûr.
Élinoï
Est-ce que tu peux nous donner 3 mots pour décrire ton expérience Élinoï ?
Balthazar
Je dirais simplicité, accompagnement et efficacité. Simplicité parce que franchement, Élinoï c’est d'une simplicité sans nom. Accompagnement parce que celui que j’ai reçu m’a vraiment été précieux pour réussir mes entretiens. Et puis efficacité puisqu'en un mois, j'ai trouvé le CDI qui me correspond dans une startup en croissance. Donc efficacité redoutable !
Élinoï
Bonjour Balthazar ! Peux-tu nous en dire plus sur toi et ton parcours ?
Balthazar
Je m'appelle Balthazar Toupart et je suis chez OVRSEA depuis un an et trois mois. Avant ça, j'ai obtenu une licence d'économie à l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne et j'ai également un certificat d'apprentissage du mandarin que j'ai eu à l'université Jiao Tong de Shanghai en 2019. Suite à mon parcours universitaire, je me suis mis très vite en recherche d'un boulot et j’ai été rapidement embauché dans une entreprise qui organisait des tournois sportifs internationaux en France. Ma mission était de prospecter le marché asiatique pour faire participer des équipes de football aux tournois qu'on organisait. En 2020, le Covid est arrivé et c’est devenu très compliqué de faire voyager des personnes depuis l'Asie. Je me suis donc rabattu sur le marché Français. J’ai fait ça pendant un an et ça s’est très bien passé. Après cette première expérience professionnelle formatrice, j'avais besoin d'un nouveau challenge alors je me suis mis en quête d’une nouvelle aventure.
Élinoï
Comment as-tu découvert Élinoï ?
Balthazar
À l’époque, je ne connaissais pas Élinoï et je n’étais pas du tout familier avec l'univers startup. Tout a commencé en septembre 2021, alors que je me baladais sur LinkedIn dans l'idée de trouver des opportunités. Je suis tombé sur Élinoï, notamment sur l’un de vos posts avec écrit : « Postulez, on accepte 15 % des candidats ». J’ai postulé par curiosité et à partir de là tout est allé très vite. J’ai intégré la communauté Élinoï et on m’a mis en relation avec cinq à six startups. Il y en a une en particulier qui m’a tout de suite tapé dans l'œil, c’est OVRSEA. Pourquoi ? Parce qu'elle était très axée “international” et qu’elle dégageait une ambiance qui me plaisait. J’ai d’ailleurs eu de la chance de ne pas commencer les process directement avec OVRSEA. En effet, je ne connaissais pas vraiment l'écosystème startup et je n’avais pas eu l’occasion de faire beaucoup d’entretien dans ma vie. Grâce aux autres processus de recrutement, j’ai pu me mettre dans le bain et me rendre compte de l’exigence demandée dans un process de recrutement. Je me suis concentré sur l’opportunité que me proposait OVRSEA et j’ai eu raison puisque finalement j’ai intégré l’équipe en novembre 2021 !
Élinoï
Savais-tu ce que tu voulais faire à ce moment-là ?
Balthazar
Pour être honnête, non. Je savais que j'étais un bon Sales et que le job de Business Development (BD) était quelque chose que j'étais capable de faire. J’avais déjà fait de la prospection et j’étais prêt à y retourner si le sujet m’intéressait vraiment. Et puis mon profil était assez atypique : je n’avais qu’une licence en économie et je ne sortais pas d’école de commerce comme les autres Sales. J’ai vite compris qu’Élinoï allait m’aider à passer des “barrières” car même si mon profil n’était pas forcément celui que l’on retient sur le CV, ils croyaient en mes capacités de bon commercial. Lorsque j’ai dit à Laurent, mon Account Manager chez Élinoï, que je voulais rejoindre OVRSEA en tant que BDR, il m’a tout de suite répondu : “Ok, ça ne va pas être simple, mais on va tout tenter !”.
Élinoï
Le processus de recrutement d’OVRSEA est réputé pour être exigeant. Comment as-tu fait pour réussir les process haut la main ?
Balthazar
Tout a commencé avec Mélinda, une des Talent Acquisition Managers. Elle m’a appelé pour le premier entretien de screening. Elle a apprécié notre échange et elle a été la première à croire en mon profil !
J’ai ensuite passé la deuxième étape avec mon potentiel futur manager. C’était ce qu’on appelle un fake call ou une simulation d’appel. C’est vraiment l’étape que j’ai préférée. C’était challengeant puisqu’il m’a posé pas mal de questions sur l’industrie du transport. Il a testé ma compréhension du business, ce business assez particulier, technique et complexe mais c’était la meilleure façon de jauger ma motivation. Je suis assez fier, parce que j’ai réalisé l’une des meilleures simulations qu’un candidat ait faites. Puis, j’ai rencontré David, le directeur commercial. Lui, c’est un sales hors pair, un grand orateur. Autant dire que ce n’est pas facile de le convaincre mais c’est un interlocuteur passionnant ! Et pour finir, il y a la dernière étape : le speed recruiting. C’est un échange avec six personnes de l'entreprise, trois rendez-vous avec deux personnes en même temps. L’objectif est de rencontrer les équipes et au moins l’un des fondateurs. C’est l’étape selon moi la plus impressionnante mais aussi la meilleure manière de savoir si l’on a envie de travailler ensemble au quotidien. Et puis pour le coup, Laurent m’a bien coaché et tout s’est très bien passé.
L’accompagnement Élinoï m’a été très précieux pendant ces entretiens : le choix de ma tenue, la question du vouvoiement et même pour bien comprendre ce qui m’attendait pendant les différentes rencontres, les feedbacks entre les étapes d’entretien, etc. J’ai finalement réussi à aller au bout du process et à rejoindre leurs équipes. Je suis assez fier de ça.
Élinoï
Peux-tu nous en dire un peu plus sur ton quotidien de BDR chez OVRSEA ?
Balthazar
C’est un métier où il faut faire preuve de beaucoup d’énergie, de résilience et de créativité au quotidien. J'insiste dessus parce que c’est très important. C’est d’ailleurs la partie que je préfère dans mon travail. Il faut aussi avoir une compréhension du business poussée. Le jour où j'ai fait preuve de curiosité et que j’ai montré un vrai attrait pour le secteur du transport international, j’ai réussi à atteindre mes objectifs. Je pense sincèrement que ce job n’est pas fait pour tout le monde.
Derrière ce job de prospection et donc principalement de cold call, je mets 3 étapes clés. La première consiste à comprendre ce que fait le prospect et à obtenir toutes les informations nécessaires. Ensuite, il faut analyser si notre proposition de valeur correspond à son business et pourrait répondre à un de ses besoins. Et pour finir, le convaincre qu’il faut qu’on se rencontre car on peut véritablement accélérer son business. Et puis quoi de plus gratifiant que de réussir à convaincre des prospects ! Réussir à obtenir un échange alors que le prospect est réticent, entretenir des échanges pendant 6 mois ou même 1 an pour certains et que, quelques mois plus tard, ce prospect devienne le plus grand client d’OVRSEA. C’est ça que j’aime dans ce métier : nos efforts finissent par payer. En revanche, si vous n’êtes pas prêt à y laisser votre chemise, alors ce n’est peut-être pas le job qu’il vous faut. À vous de faire preuve de créativité et de débrouillardise pour capter l’attention de votre interlocuteur ! Pour ma part, je travaille une phrase d’accroche différente pour chaque industrie. Par exemple, si j'appelle une entreprise dans le retail, j’explique que c’est bientôt l’anniversaire de ma conjointe et que je veux lui acheter un trench-coat ; que j’ai besoin d’aide et que je suis preneur de ses conseils. Et par ailleurs, j’aimerais beaucoup en savoir plus sur le transport de leurs vêtements. Cela m’arrive aussi d’aller directement sur le terrain, en magasin, pour enquêter sur l’origine de leur marchandise. Et dès le lundi matin, je reviens avec toutes les informations pour les appeler et les épater avec tout ce que je sais !
Élinoï
On a entendu tes collègues te surnommer Balthastar ! Alors Balthastar, Quels sont tes projets pour la suite au sein d’OVRSEA ?
Balthazar
C’est le petit surnom qu’ils me donnent ! Il faut dire que j’ai eu des échanges et des démonstrations que je suis allé chercher avec les dents. Certains commerciaux de nos concurrents m’en veulent encore. Quand je vous disais qu’il faut être prêt à tout donner, c’est vraiment ce que je fais. Et puis évidemment, comme on travaille dans un open space, tout s’entend… Enfin bref, la suite pour moi, c’est New-York ! Je pars dans 3 semaines. Pour vous donner un peu de contexte, dès les premiers mois chez OVRSEA, j’ai vite atteint mes objectifs. Au bout de cinq mois, j’ai demandé à saisir une opportunité : partir travailler dans l’une des antennes aux États-Unis. Le culot, il faut en avoir autant au téléphone que dans la vie.
On m’a répondu que si je continuais à travailler comme je le faisais et à atteindre mes objectifs, alors je pourrais partir. J’ai tout donné. Et après un an, je suis très heureux de partir vivre à New-York. Là-bas, je ferai le même métier, mais sur un marché qui est totalement différent, avec des interlocuteurs différents et des spécificités de transports différentes. Je dois tout réapprendre, mais ce que j’ai déjà acquis me servira, c'est sûr.
Élinoï
Est-ce que tu peux nous donner 3 mots pour décrire ton expérience Élinoï ?
Balthazar
Je dirais simplicité, accompagnement et efficacité. Simplicité parce que franchement, Élinoï c’est d'une simplicité sans nom. Accompagnement parce que celui que j’ai reçu m’a vraiment été précieux pour réussir mes entretiens. Et puis efficacité puisqu'en un mois, j'ai trouvé le CDI qui me correspond dans une startup en croissance. Donc efficacité redoutable !