Une liste de 6 questions à vous poser avant de chercher votre premier ou prochain CDI. Et croyez-nous : ceux qui se les posent trop tardivement s’en mordent les doigts.
Vous l'aviez attendu, peut-être même redouté, mais ça y est : le moment de rechercher ton job est arrivé. Même si vous vous y êtes préparé psychologiquement, la quête d’un CDI n’est pas toujours rose et donne du fil à retordre même aux plus téméraires ! Voici les 6 questions que les Talents Managers d'Élinoï vous conseillent de vous poser avant de chercher votre premier ou prochain CDI.
1. Qu'est-ce que je veux ?
Cette question paraît basique, non ? Pourtant dans les faits, rares sont ceux qui prennent réellement le temps de se la poser. Si vous comptez décrocher un job pour lequel vous serez motivé de vous lever tous les matins, il va bien falloir commencer par savoir ce que vous aimez et ce qui vous anime. Cela vous permettra d'être certain de vous épanouir dans votre premier job. Asseyez-vous à une table et commencez à décrire ce que serait la pire et la meilleure expérience professionnelle à vos yeux. Ensuite, posez-vous ces quelques questions : qu'avez-vous aimé dans vos anciennes expériences ? Au contraire, qu’est-ce que vous ne souhaiteriez surtout pas connaître à nouveau ? Avec quel type de personnes aimeriez-vous travailler ? Enfin, dans quel secteur d’activité aimeriez-vous travailler, et quel type d’entreprise souhaiteriez-vous rejoindre : startup ou grand groupe ? Cet exercice n’est pas aussi simple qu’il en a l’air. En outre, un concept japonais appelé l’Ikigai peut vous permettre de vous poser les bonnes questions afin de trouver le point de convergence entre la personne que vous êtes et celle que vous souhaitez devenir.
2. Ai-je les compétences pour faire ce job ? Sinon, que faire ?
Ok, vous savez maintenant plus précisément ce que vous voulez faire. Maintenant, soyez honnête avec vous-même : avez-vous les compétences pour obtenir le job de vos rêves ? Si tel est le cas, tant mieux, mais gardez en tête que vous êtes encore junior. Sinon, ce n’est pas grave, car nombreux sont les moyens pour arriver à vos fins. Entre MOOC en ligne, formations digitales gratuites, stages : s’autoformer n’a jamais été plus facile qu’aujourd’hui. Les recruteurs, surtout en startups, valorisent énormément la curiosité et l’envie de progresser en permanence.
3. Quelles sont mes priorités ?
Dans n’importe quel job, des missions vont vous plaire et d’autres moins. En fait, c’est vrai dans la vie en général. Alors il faut faire des choix, et pour cela, rien de tel que de lister ses priorités. Vous pouvez tout à fait trouver un job avec des horaires flexibles et t’en réjouir ; s’il ne coche pas d’autres cases plus importantes à vos yeux il faudra le laisser de côté. Pour ce faire, demandez-vous si tel besoin est vraiment nécessaire ou juste confortable. Triez vos priorités en deux colonnes selon ces dernières caractéristiques (nécessaire ou confortable). Si le job ne remplit pas la totalité de vos nécessités : ne faites pas de compromis, vous trouverez sans doute mieux.
4. Suis-je honnête avec moi-même ?
Après s’être posé ces trois questions, il est malheureusement trop facile de se laisser aller dans la facilité par désespoir, et abandonner tout ce qu’on s’était promis de trouver. Mais n’oubliez pas une chose : si le job ne vous convient qu’à moitié, vous ne conviendrez également qu’à moitié à votre employeur ! Ce que ça veut dire ? Que vous précipiter vous fera perdre du temps, de l’énergie et de l’enthousiasme, à vous et votre employeur.
5. Ai-je la bonne approche ?
Arrivé jusqu’ici, vous avez fait la plus grande partie du boulot. Encourageant, non ? Désormais, vous devez donner le meilleur de vous même pour décrocher des entretiens. Pour savoir si vous êtes dans le bon état d’esprit, il existe un moyen simple : adaptez-vous vos lettres de motivation, votre CV et votre discours à la boîte que vous approchez ? Si tel n’est pas le cas, il va falloir redresser la barre. Informez-vous sur la culture de l’entreprise, l’ambiance, les habitudes et les rituels, et adaptez votre discours pour montrer que cela vous correspond parfaitement. En général, ce travail te permet également de savoir si vous voulez réellement ce job, car vous devez croire en ce que vous avancez. Expliquez pourquoi tout dans votre parcours converge pour qu’ils aient besoin de vous pour ce poste.
6. À quelle rémunération prétendre pour ce job ?
Même si ce n’est pas évident lorsque l’on est jeune diplômé, il est fondamental d’avoir conscience de la valeur que l’on a sur le marché. Cela vous évitera des déconvenues et vous fera d’emblée passer pour quelqu’un de rigoureux et de sérieux aux yeux des recruteurs. Bien sûr, cette fourchette de rémunération varie selon la famille de métiers, l’expérience et la taille de l’entreprise. Fort heureusement, il existe de nombreuses ressources en ligne pour t’aider à vous y retrouver : certains sites répertorient anonymement les rémunérations des salariés d’entreprises différentes, mais à poste et expérience égaux (ex : glassdoor). Enfin, - parlons peu, parlons bien - en tant que jeune diplômé d'une bonne école, vous pouvez souvent prétendre à un premier salaire entre 35 et 45 K€ en package total ; voire parfois encore plus si le job est accompagné de beaucoup de variable (typiquement : les métiers commerciaux BtoB). Si vous prenez le temps de vous poser ces 6 questions lors de la recherche de votre premier ou prochain CDI, nul doute que vous mettez toutes les chances de votre côté pour démarrer un job dans lequel vous épanouir. Encore faut-il ensuite réussir l'entretien, mais ça, c'est une autre histoire. Désormais, la balle est dans votre camp.
Vous l'aviez attendu, peut-être même redouté, mais ça y est : le moment de rechercher ton job est arrivé. Même si vous vous y êtes préparé psychologiquement, la quête d’un CDI n’est pas toujours rose et donne du fil à retordre même aux plus téméraires ! Voici les 6 questions que les Talents Managers d'Élinoï vous conseillent de vous poser avant de chercher votre premier ou prochain CDI.
1. Qu'est-ce que je veux ?
Cette question paraît basique, non ? Pourtant dans les faits, rares sont ceux qui prennent réellement le temps de se la poser. Si vous comptez décrocher un job pour lequel vous serez motivé de vous lever tous les matins, il va bien falloir commencer par savoir ce que vous aimez et ce qui vous anime. Cela vous permettra d'être certain de vous épanouir dans votre premier job. Asseyez-vous à une table et commencez à décrire ce que serait la pire et la meilleure expérience professionnelle à vos yeux. Ensuite, posez-vous ces quelques questions : qu'avez-vous aimé dans vos anciennes expériences ? Au contraire, qu’est-ce que vous ne souhaiteriez surtout pas connaître à nouveau ? Avec quel type de personnes aimeriez-vous travailler ? Enfin, dans quel secteur d’activité aimeriez-vous travailler, et quel type d’entreprise souhaiteriez-vous rejoindre : startup ou grand groupe ? Cet exercice n’est pas aussi simple qu’il en a l’air. En outre, un concept japonais appelé l’Ikigai peut vous permettre de vous poser les bonnes questions afin de trouver le point de convergence entre la personne que vous êtes et celle que vous souhaitez devenir.
2. Ai-je les compétences pour faire ce job ? Sinon, que faire ?
Ok, vous savez maintenant plus précisément ce que vous voulez faire. Maintenant, soyez honnête avec vous-même : avez-vous les compétences pour obtenir le job de vos rêves ? Si tel est le cas, tant mieux, mais gardez en tête que vous êtes encore junior. Sinon, ce n’est pas grave, car nombreux sont les moyens pour arriver à vos fins. Entre MOOC en ligne, formations digitales gratuites, stages : s’autoformer n’a jamais été plus facile qu’aujourd’hui. Les recruteurs, surtout en startups, valorisent énormément la curiosité et l’envie de progresser en permanence.
3. Quelles sont mes priorités ?
Dans n’importe quel job, des missions vont vous plaire et d’autres moins. En fait, c’est vrai dans la vie en général. Alors il faut faire des choix, et pour cela, rien de tel que de lister ses priorités. Vous pouvez tout à fait trouver un job avec des horaires flexibles et t’en réjouir ; s’il ne coche pas d’autres cases plus importantes à vos yeux il faudra le laisser de côté. Pour ce faire, demandez-vous si tel besoin est vraiment nécessaire ou juste confortable. Triez vos priorités en deux colonnes selon ces dernières caractéristiques (nécessaire ou confortable). Si le job ne remplit pas la totalité de vos nécessités : ne faites pas de compromis, vous trouverez sans doute mieux.
4. Suis-je honnête avec moi-même ?
Après s’être posé ces trois questions, il est malheureusement trop facile de se laisser aller dans la facilité par désespoir, et abandonner tout ce qu’on s’était promis de trouver. Mais n’oubliez pas une chose : si le job ne vous convient qu’à moitié, vous ne conviendrez également qu’à moitié à votre employeur ! Ce que ça veut dire ? Que vous précipiter vous fera perdre du temps, de l’énergie et de l’enthousiasme, à vous et votre employeur.
5. Ai-je la bonne approche ?
Arrivé jusqu’ici, vous avez fait la plus grande partie du boulot. Encourageant, non ? Désormais, vous devez donner le meilleur de vous même pour décrocher des entretiens. Pour savoir si vous êtes dans le bon état d’esprit, il existe un moyen simple : adaptez-vous vos lettres de motivation, votre CV et votre discours à la boîte que vous approchez ? Si tel n’est pas le cas, il va falloir redresser la barre. Informez-vous sur la culture de l’entreprise, l’ambiance, les habitudes et les rituels, et adaptez votre discours pour montrer que cela vous correspond parfaitement. En général, ce travail te permet également de savoir si vous voulez réellement ce job, car vous devez croire en ce que vous avancez. Expliquez pourquoi tout dans votre parcours converge pour qu’ils aient besoin de vous pour ce poste.
6. À quelle rémunération prétendre pour ce job ?
Même si ce n’est pas évident lorsque l’on est jeune diplômé, il est fondamental d’avoir conscience de la valeur que l’on a sur le marché. Cela vous évitera des déconvenues et vous fera d’emblée passer pour quelqu’un de rigoureux et de sérieux aux yeux des recruteurs. Bien sûr, cette fourchette de rémunération varie selon la famille de métiers, l’expérience et la taille de l’entreprise. Fort heureusement, il existe de nombreuses ressources en ligne pour t’aider à vous y retrouver : certains sites répertorient anonymement les rémunérations des salariés d’entreprises différentes, mais à poste et expérience égaux (ex : glassdoor). Enfin, - parlons peu, parlons bien - en tant que jeune diplômé d'une bonne école, vous pouvez souvent prétendre à un premier salaire entre 35 et 45 K€ en package total ; voire parfois encore plus si le job est accompagné de beaucoup de variable (typiquement : les métiers commerciaux BtoB). Si vous prenez le temps de vous poser ces 6 questions lors de la recherche de votre premier ou prochain CDI, nul doute que vous mettez toutes les chances de votre côté pour démarrer un job dans lequel vous épanouir. Encore faut-il ensuite réussir l'entretien, mais ça, c'est une autre histoire. Désormais, la balle est dans votre camp.